INGA 3

PREMIERE PHASE DU PROJET GRAND INGA

Documentation

Projets

LES IMPACTS DU PROJET INGA 3​

• Des recettes importantes et régulières sont attendues notamment aux titres du droit d’eau, de l’ordre de 1 à 1,5 milliards USD par an ;
• Accès aux fonds vert par le biais du crédit carbone dès lors que la disponibilité d’énergie d’origine hydro-électrique réduit la pression sur l’écosystème ;

1. la création des opportunités d’affaires pour les populations autochtones, dansla province du Kongo central et dans toutes les provinces traversées par les lignesde transport d’énergie ;
2. l’implantation des nouvelles entreprises dans toutes les provinces du pays ;
3. l’offre des opportunités aux banquiers, aux industriels et aux différents opérateurs congolais et étrangers d’investir en RDC.
4. la création des zones économiques spéciales ;
5. L’augmentation de capacité des cimenteries existantes et la création de nouvelles, pour la construction du barrage et accompagner le développement des activités annexes induites par les travaux de Inga3
6. Le développement du secteur touristique le long du fleuve, de Matadi à Muanda. Une belle opportunité pour promouvoir les cultures, l’artisanat et les traditions locales.
7. la diversification de l’économie congolaise ;
8. l’augmentation du pouvoir d’achat des populations de la zone d’influence du projet ;
9. l’augmentation du budget de l’Etat;
10. l’industrialisation de la RDC et celle de l’Afrique ;

Les impacts environnementaux néfastes sont négligeables. L’accès facile à l’usage de l’énergie électrique avec pour effet la réduction sensible de la déforestation,

Amélioration du cadre de vie des populations affectées par le projet (PAPs), notamment par le regroupement des populations dans de sites équipés disposant des habitations à confort amélioré, des centres de santé, des écoles, des aires des jeux, des adductions d’eau potable, fourniture d’électricité des marchés aménagés, et éventuellement des centres de formation professionnelle ;Opportunités accrues des marchés de l’emploi pour les populations locales, prioritaire-ment les populations directement affectées ;Création des emplois directs estimés à 7 000 emplois en moyenne, avec pointe à 10.000 ; Extension des zones de desserte, amélioration de la qualité de service et augmentation du taux d’accès à l’électricité de la population congolaise ;Les impacts socio-économiques couvrent une zone plus large que la zone d’influence du projet. Pas une seule localité de la province du Kongo central, du Kwango et même de Kinshasa ne bénéfi-ciera pas des impacts directs du projet.A titre indicatif, il est attendu la création de plus de 20 000 emplois directs et indirects.

Grand Inga, environ 42.000 MW, décliné en six phases

 

INGA 3 BASSE CHUTE (BC)

La première phase de ce développement consiste au développement d’une centrale d’une puissance installée de 4 800 MW dénommée « Inga 3 Basse Chute ».

INGA 3 HAUTE CHUTE (HC)

la deuxième phase de ce développement dénommée « HAUTE CHUTE », consiste en la rehausse du barrage de retenu afin de produire 3000 MW supplémentaires et atteindre 7 800 MW. 

Caractéristiques principales

Caractéristiques principales

Aucune intervention sur le lit du fleuve

Construction d’un barrage sur le fleuve

Construction d’une prise d’eau sur le fleuve

Transformation de la vallée de la Bundi en bassin de retenue et inondation de la prise d’eau sur le fleuve et du canal d’amenée de 12 kilomètres de long, construit pour le besoin d’Inga 3 BC,

Construction d’un barrage de retenue sur la rivière Bundi pour atteindre un niveau de rete-nue d’eau de 145 m

Rehausse du barrage de retenue sur la Bundi pour que le niveau d’eau passe de 145 m à 205 m

Installation d’une centrale hydroélectriqueavec des turbines bi-chutes,

Recalibrage des turbines bichutes pourproduire 3000MW supplémentaires

Puissance installée: 4800 MW

Puissance installée: 7800 MW

Construction des lignes d’évacuation d’énergie vers Kinshasa, vers l’ex-province Katanga et la République d’Afrique du Sud.

Construction des lignes d’évacuation d’énergie.

ANALYSE DE L’IMPACT HYDRAULIQUE ET ENERGETIQUE DU PROJET INGA 3 SUR LA PRODUCTION D’INGA 1 ET 2 ET MESURES COMPENSATOIRES ASSOCIEES

L’étude complémentaire destinée à analyser l’impact de inga 3 basse chute, réaliser par le même groupement AECOM et EDF, a mis en évidence que l’exploitation de inga 3 basse chute aura un impact négatif sur inga 1 et inga 2, voir extrait ci-dessous qui recommande le passage directement à Inga 3 Haute Chute

L’ impact d’Inga 3 BC sur Inga 1 et 2 disparaît avec Inga 3 HC (Haute-Chute). En 2013, dans son étude de faisabilité, le Groupement a fait une analyse comparative de la basse chute et de la haute chute pour vérifier les conditions de la demande énergétique qui justifierait la construction immédiate d’Inga 3HC sans passer par Inga 3BC. Sur la figure 5.17 empruntée du rapport du Groupement (2013), il a été clairement démontré que si la demande dépassait 7 500 MW, il devenait économiquement plus intéressant de construire immédiatement Inga 3HC sans passer par la phase de basse chute.

ASPECTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX

Aspects environnementaux et sociaux, comparaison avec quelques grands barrages du monde

Aspects environnementaux et sociaux, comparaison avec quelques grands barrages du monde

Les études environnementales et sociales réalisées ont démontré que le projet, tel que conçu, a un impact faible sur les populations, comparé aux projets d’importance similaire de par le monde. Le rapport entre la puissance produite et les effets induits tant sur les superficies que les personnes affectées est négligeable.

DECISION DE REALISER INGA 3 ET PROCESSUS DE SELECTION

ETUDE DE LA DEMANDE ENERGETIQUE DE LA R.D.C SCENARIO DE REFERENCE EN 2012

En effet considérant l’objectif fixé par le Président de la république d’atteindre un taux de desserte de 30% en énergie électrique fin mandat, il faudrait produire suffisamment d’énergie pour satisfaire la demande interne, estimée à plus de 5 000 MW à l’horizon 2025 selon l’étude de faisabilité de 2013. A ce jour, la demande interne dépasse déjà les 3 500 MW et atteindra les 6 000 MW à l’horizon 2025. Les centrales d’Inga 1 et Inga 2 réhabilitées ne pourront produire que 1 775 MW et cette puissance ne saurait juguler seule la demande du réseau Ouest. Seule une centrale de plus de 6 000 MW pourrait répondre à une telle demande. Toute autre stratégie serait hasardeuse.

L’Etat congolais a décidé de développer le projet Inga 3 en Partenariat Public Privé (PPP).

La République Démocratique du Congo, dans le Dossier d’Appel d’Offres, a fait le choix du financement de ce grand projet, en Partenariat Privé Public, PPP, et plus précisément en BOT (Build Operate Transfer : le concessionnaire construit, exploite jusqu’à concurrence des années contractées, avant de transférer la pleine gestion de l’ouvrage au propriétaire). L’ouvrage est certes donné en concession, mais est propriété de la République Démocratique du Congo, dès sa construction, le concessionnaire ne bénéficiant que du droit d’usage.L’Etat Congolais ne s’endettera pas et n’offrira pas non plus sa garantie souveraine, pour la construction de Inga 3

Processus de sélection du développeur

La signature de l’accord de développement exclusif, qu’ADPI-RDC a signé avec les deux consortiums encore lice, le 16 octobre 2018, fut l’aboutissement d’un long processus, entamé en 2010, avec l’Appel d’Avis à Manifestation d’intérêt (AMI), au standard international.

CARACTERISTIQUE PRINCIPALES DU PROJET UNIQUE OPTIMISÉ

LES IMPACTS DU PROJET INGA 3

• Des recettes importantes et régulières sont attendues notamment aux titres du droit d’eau, de l’ordre de 1 à 1,5 milliards USD par an ;
• Accès aux fonds vert par le biais du crédit carbone dès lors que la disponibilité d’énergie d’origine hydroélectrique réduit la pression sur l’écosystème ;

1. la création des opportunités d’affaires pour les populations autochtones, dans la province du Kongo central et dans toutes les provinces traversées par les lignesde transport d’énergie ;
2. l’implantation des nouvelles entreprises dans toutes les provinces du pays ;
3. l’offre des opportunités aux banquiers, aux industriels et aux différents opérateurs congolais et étrangers d’investir en RDC.
4. la création des zones économiques spéciales ;
5. L’augmentation de capacité des cimenteries existantes et la création de nouvelles, pour la construction du barrage et accompagner le développement des activités annexes induites par les travaux de Inga3
6. Le développement du secteur touristique le long du fleuve, de Matadi à Muanda. Une belle opportunité pour promouvoir les cultures, l’artisanat et les traditions locales.
7. la diversification de l’économie congolaise ;
8. l’augmentation du pouvoir d’achat des populations de la zone d’influence du projet ;
9. l’augmentation du budget de l’Etat;
10. l’industrialisation de la RDC et celle de l’Afrique ;

Les impacts environnementaux néfastes sont négligeables. L’accès facile à l’usage de l’énergie électrique avec pour effet la réduction sensible de la déforestation,

Amélioration du cadre de vie des populations affectées par le projet (PAPs), notamment par le regroupement des populations dans de sites équipés disposant des habitations à confort amélioré, des centres de santé, des écoles, des aires des jeux, des adductions d’eau potable, fourniture d’électricité des marchés aménagés, et éventuellement des centres de formation professionnelle ;

Opportunités accrues des marchés de l’emploi pour les populations locales, prioritairement les populations directement affectées ;

Extension des zones de desserte, amélioration de la qualité de service et augmentation du taux d’accès à l’électricité de la population congolaise ; 

Les impacts socio-économiques couvrent une zone plus large que la zone d’influence du projet.

 Pas une seule localité de la province du Kongo central, du Kwango et même de Kinshasa ne bénéficiera pas des impacts directs du projet.A titre indicatif, il est attendu la création de plus de 20 000 emplois directs et indirects.